Besoin d'air // Reserved a P'tit Miller

B

-Foutue réveil-matin de ****

-Ça va , j'ai comprit!

- Enfin la paix!!!

-Bonjour , puis-je vous être utile mademoiselle?

- Hum .. oui , en faite , j'Aimerais mentraîner et hum..je me demanderais si tu aurais du linge?

« Bon matin mon amour. »

A

dieu. Adieu les rêveries. Adieu les soirée à rester dans le lit à se caresser sans repos. Adieu les fous rires que nous avions durent des nuits entières. Adieu toutes les sorties que nous fessions pratiquement tout les jours. Adieu mon amour. Adieu ma princesse aux cheveux d'or. Adieu mon amour perdu. Adieu tout ça. Adieu tout mes petits plaisir passé avec toi. Adieu Lennie. Notre histoire d'amour qui était plus fort que tout fait maintenant partit du passé, malheureusement. Personne de nous deux n'a voulus de cela. Mais il faut croire que ça devait arrivée car tu m'as quitté si vite. Et puis même si chaque fois que j'en avais l'occasion, je te prouvais, de tout les sens possible, à quel point tu comptais pour moi, j'ai l'impression, à présent, de ne jamais te l'avoir dit assez. Que tu es morte trop vite, sans raison. Que tu as quitté ce monde sans aucune raison valide qui pouvait justifier ton départ si précipité. Tu ne peux pas savoir à quel point j'aurais voulus être avec toi durant ce moment. Avoir été dans la voiture, juste à côté de toi, à te tenir la main. Avoir vus le gigantesque camion venir sur toi et moi enfin de te protéger du mieux que je le pouvais, même si ma carrure n'aurait rien changé. Tu étais destinés à partir. Je le sais. Tout le monde par un jour, pas vrai ? Mais toi, tu n'avais pas le droit. Pas tout de suite en tout cas. On se l'avait dit. Peu importe les circonstances, on mourrait ensemble. On souffrirais en même temps. Dieu nous attendrait toi & moi en même temps aux portes dorée du paradis. T'avais pas le droit. Non, tu n'avais pas le droit. Ce que j'ai vécu avec toi était exceptionnel. Différente. Cet amour, nous l'a vivions à notre façon. Certes, l'amour est le sentiment les plus merveilleux de la terre, lorsque tu le vis convenablement. Se sentir aimé par le sexe opposé est une sensation exquise. Lorsque l'être avec qui tu veux passé ta vie t'aime également, tu es si heureux que tu pourrais crier sur le toit ton bonheur. Par contre, lorsque l'être que tu aimes le plus au monde décide d'involontairement partir dans le ciel, l'amour, ça devient nul. Tu m'as fais rêver Lennie. Mais maintenant, tu me fais pleurer plus que jamais. La tristesse me tétanisait. La peur me brûlait le corps. Les remords fesait de moi une personne morte. Je sais ce que c'est mourir désormais. Être mort, c'est ne plus avoir personne autour de soi. Être mort, c'est ce faire oublier de tous. Être mort, c'est paraître invisible aux yeux de tous. Et moi, j'étais mort. Mais, aujourd'hui, c'est comme si je renaissais. Comme si soudain, mon corps prenait vie et se colorait à l'affut des gens. Pourquoi ? Parce que demoiselle aux cheveux d'or est venus vers moi. Ce que je redoutais le plus. Pourquoi elle venait me voir ? Pourquoi fesait-elle exciperais pour m'agresser, me brusquer ? Ce rendait-elle premièrement compte qu'elle venait de faire l'erreur fatale ? Je ne voulais pas de contact humain depuis la mort de ma Lennie. Et je ne voulais encore moins d'une jumelle de la femme de ma vie. De mon amour perdu. Je ne savais pas quoi faire. J'avais peur de prononcer le moindre mots, craignant de fondre en larme et de montrer la boule énorme qui c'était fait une place dans ma gorge ravageuse. Que faire ? Repartir avant qu'elle ne m'interpelle ? Impossible, elle était déjà à un mètre de moi et elle aurait probablement été facilement capable de me rattraper. Alors faire la conversation avec elle et tenter de se faire une nouvelle amitié ? Impossible également, la tristesse ainsi que la détresse était encore beaucoup trop présente et lourde pour que je me fasse un entourage convenable à ma vie. Alors, je n'aurais guère le choix de lui prouver, amicalement et gentiment, que je ne voulais pas de liens avec elle, ni de contact, tout simplement. Je sursauta lorsque j'entendis sa voix veloutée traverser mon esprit. Elle avait la même voix que Lennie. La seule et unique différence, c'était que celle de Lennie était légèrement plus aigus que celle aux cheveux d'or. Sinon, leurs voix étaient semblables. Je me retourna brusquement et la dévisagea sauvagement. Il fallait à tout pris qu'elle comprenne où je voulais en venir.

" Allo. "

Fesant mine de paraître indifférent à sa rencontre, je fuyais le plus possible son regard. Il était vraiment impossible que mon regard noisette croise les siens, nettement plus clair. Sinon, encore une fois, la pression allait me démolir et j'allais probablement céder.

" Moi, intéressant ? J'crois pas non.. "

Q

" Non en effet tu ne l'es pas , c'est simplement que tu me regardait et sans le vouloir j'ai dit en premier que je te trouvais attirant , se qui est faux car , regarde toi ..."

" Tu sais , d'accord ta un style qui te démarquer , c'est peut-être sa qui fait que pour certaine tu pourrais être intéressant , mais pour moi il n'y a rien de plus banale , y'en a plein comme sa dans les rues St-Catherine et les rues où il y a des bar , tu vois ou c'est? Eh puis de toute façon je voulais juste savoir se que tu regardais comme sa , parce que si c'est moi sache que je suis bonne moi aussi dans se jeux et t'en qu'a regarder quelqu'un comme cela et bien va le faire a quelqu'un qui le mérite alors que moi j'té rien fait..."

M

aintenant, je n'avais plus de carapace autour de mon corps fragile et cassable. Elle constituait ma seule et unique protection contre toutes dénigration de la part des autres habitants de cette terre. Je suis à découvert, nu comme un ver, vif comme le feu. Donc, si quelqu'un décidait de faire de moi sa victime, je ne pourrais résister à l'envie de m'effondrer, d'abandonner la partie contre ce monde si cruelle et égoïste. Vous savez, des insultes, j'en ai reçus des tas et des tas mais maintenant ou plutôt depuis aujourd'hui, c'est comme si la douleur devenait de plus en plus intense et présente. C'est comme si ma bulle protectrice était partit, quoi que ce n'est pas du tout faux. Elle est partie avec. Et puis d'un autres côtés, j'avais cette incessante envie de violenter ma rage, de démontrer ma détresse au autres, pour qu'ils comprennent enfin ce que je vis jours après jours depuis maintenant un an. Qu'ils voient à quel point c'est dur de vivre ma vie. Qu'ils comprennent qu'être la personne que je suis, que d'avoir eu à vivre mon passé n'était pas super agréable comme début de vie. Au contraire, elle était pire que désagréable. Elle était hideuse, dégoûtante. Tout le monde autour de moi semblait vivre pleinement leurs vies de jeunes adultes. Ils semblaient heureux et au maximum de leurs formes. Seulement, moi, je n'y arrivais pas du tout. Était-ce si dur, de nos jours, de devenir heureux ? Est-ce si compliqué de pouvoir enfin ré-avoir le goût de rire de la vie ? Est-ce si compliqué d'être à nouveau capable d'aimer comme je l'ai déjà fait ? Vu d'en bas, cet obstacle me paraissait insurmontable. Comme si au sommet, il y avait une énorme affiche qui me dicterait de redescendre, parce que la route vers le bonheur est barré ou alors parce qu'il n'y a plus de place. Tout le monde a eu le droit au bonheur. Pas moi. J'espère que vous comprenez maintenant, lorsque je vous dit que la vie ne m'a pas fait du tout de l'ombre. Qu'elle ne m'ait jamais donné de chance dans tout ce que j'entreprenais. Je n'avais pas tord, et vous le saviez très bien. Jamais au grand jamais tout le monde dans cet immense planète, sera entièrement et complètement heureux. Jamais. La réalité est trop sadique, sans émotion, pour que les gens soit rassasiés de bonheur. C'est tout simplement impossible. Plus le temps avançaient à grands pas, plus je pouvais sentir monter rapidement la bile brûlante dans ma gorge humide. J'avais vraiment besoin d'exploser. D'enlever cette lourde pression qui casse mes épaule en mille et un morceau. De ne plus être obliger de me retenir de dire ce que je pense, de toujours devoir me refermer sur moi-même, craignant de déclarer la guerre entre deux êtres. Puis, la blondinette est arrivée, sortie de nulle part. Elle, elle a fait débordée le vase. Dans ses yeux, je pouvais voir la honte qu'elle avait à l'intérieur d'elle. Pourquoi se sentait-elle si honteuse ? Parce qu'elle était avec un type aussi pathétique que moi ? Ou alors parce qu'elle venait très franchement de me dire que j'étais hideux. Jamais au grand jamais je n'aurais crus qu'une aussi petite personne à la taille de guêpe, presque identique à la mienne, pouvait être aussi méchante. Certes, elle était peut-être en colère et sa journée avait probablement mal commencée. Mais selon moi, selon la nouvelle personne que j'étais, je ne croyais pas que je le méritais vraiment. Mes muscles se contracta et je serra les poings. Je me mis à trembler de tout mes membres, sans qu'elle ne s'en rende toutes fois compte. Je ne sais pas si j'étais capable de lui dire ce que je pensais. Ça fesait si longtemps que je ne m'étais pas exprimer..

" Tu te rends pas compte que parfois, tu peux dire des choses blessantes ? J'crois que t'as jamais prit le temps de regarder autour de ta petite personne pour constater à quel point tu fais du mal. Réfléchis bien à ça pour la prochaine fois que tu tenteras de te faire aimer. "

Elle n'était pas comme Lennie. Elle était même tout le contraire d'elle. La seule ressemblance, c'est qu'elle possédait de magnifique cheveux blond platine et des yeux bleus dans lequel on pouvait facilement se noyer comme Lennie. Point. Mon amoureuse n'était pas aussi méchante. Mon amoureuse n'aurait jamais été capable de dire de si blessante parole. Non. Même si je venais directement de lui dire une parcelle de vérité par rapport aux propos qu'elle venait de me dire, je ne fus tout de même pas capable de plonger mon regard dans le siens. La cicatrice que ma Lennie avait laissé lors de sa mort n'était pas encore complètement sèche et cicatrisé. La peine aurait été une fois de plus trop douloureuse.

" C'est quoi ton problème ? On n'a plus le droit de regarder les gens maintenant. Je te signale que dans la pièce, il y a à peu près une dizaine de garçons qui bave sur leurs torses depuis que t'es là. T'as qu'à retourner ta tête et tu verras. Et puis j'ai jamais essayé de me faire remarquer par toi. Je me fous complètement que tu trouves mon style ordinaire ou bien que tu puisses trouver des tas de mecs sur la rue St-Catherine.. J'suis même heureux pour toi. Comme ça, tu vas pouvoir aller tous les baiser ! "

J

" Oui , je m'en rend compte , mais comme tu vois sa fait partie de moi. Eh non je n'es jamais quitter les yeux de ma personne pour me soucier de ce qu'il se passait chez les autres car jamais ils ne l'ont fait pour moi . Pas même mes parents ok? Et puis le mot aimer tu peux te le garder , en effet je n'es jamais aimer personne , personne ne m'a jamais aimer ! Alors si toi ta eu la chance d'apprendre a le vivre et bien je te félicite et maintenant garde le pour toi ! "

" Oui j'ai remarquer qu'ils bavent , mais ses mecs la , je peux pas non .. en faite je peux plus et en passent je sais très bien que tu n'as pas essayer de jouer l'intéressant pour moi , de toute façon sa n'aurait pas marcher. Et puis tu as tout a fait raison je vais aller tous les baisers , ouais! Comme sa je pourrai encore tuer mon enfant , se serait bien non?! "

" Alors , tu dis plus rien hein? "

E

lle paraissait si démolie par ma réplique que les remords me rongea d'un seul et unique petit effort le corps en entier. J'avais maintenant les remords encrés bien comme il le faut en moi et ils n'étaient pas prêt de s'enlever ou de disparaître comme par magie, comme ma Lennie avait si bien réussie à le faire cette fameuse journées de merde. Si seulement à cette époque j'avais eu droit à un pouvoir magique. J'aurais choisi le pouvoir de revenir dans le temps et j'aurais été chercher ma future femme. Avoir su.. Et puis cette putain de voiture, qu'est-ce qu'elle fesait là !? Elle n'avait pas le droit de rentrer dans une voiture aussi violemment qu'elle l'avait fait du côté passager de la voiture de Lennie. Et pourquoi ce n'est la tante de mon amie à la place qui est morte. Pourquoi est-ce qu'il fallait que sa soit elle. When you're gone, I felt the dark into my veines.. Tout à radicalement changé. Terminer les caresses interminables dans le lit. Terminer les belles paroles qu'elle savait si bien me dire. Au revoir le bonheur, bonjour la réalité. Sauf que la réalité, je ne voulais guère l'accepter. Je ne voulais pas comprendre qu'elle était morte. Je ne voulais admettre que je ne pourrais plus voir son visage. Il ne me restait plus qu'une seule et unique fois pour la voir. Et c'était à son enterrement. Lennie n'était pas aussi jolie. Certes, elle l'était toujours mais même s'ils l'avaient maquillés pour que rien ne paraisse, je voyais son effrayant e blancheur. Ses yeux closes fermés à jamais. J'étais restés en dernier au près d'elle. Je ne savais pas quoi faire, ni quoi lui dire. Tout ce que je savais, c'était que je devais rester à tout prix à son chevet. Rester à ses côtés jusqu'à la toutes dernières minutes, la toute dernière seconde. Je le devais absolument. Puis vint le temps de fermer le cercueil pour finalement aller l'a portée dans le cimetière de la ville. Tout ce que mes lèvres rosées avaient réussis à dire, c'était des mots simple. Deux mots qui disent tout. Je t'aime. C'était ce que je lui avais dit. Et à savoir pourquoi, même si elle était inconsciente, je savais que là-haut, elle m'entendrait. Maintenant qu'elle était définitivement partie et que tranquillement, je me rendais réellement compte de ce qui se passait, il me restait plus qu'à aller la rejoindre. Seulement, je cherchais l'occasion rêvé et chaque. Mais cette foutue occasion, elle ne se présentait guère à moi. Jamais. Je ne pouvais donc jamais allée la voir. C'est si fâchant de ne jamais pouvoir atteindre ses buts, ses rêves. De toujours avoir l'impression que les épreuves sont insurmontables. Et cette frustration, elle était semblable à ce que j'éprouvais présentement. Seulement, je n'étais pas en colère parce que je n'arrivais pas à mettre fin à mes jours. Je n'étais pas en colère parce que je ne trouvais pas de façon de réaliser cette action. J'étais en colère parce que la blonde ne semblait pas comprendre ni même voir la chance qu'elle avait d'être aussi belle que Lennie, ma Lennie.

" Eh bien si ce que tu me dis est vraie, j'aime mieux cesser immédiatement de te parler. Je pers pas mon temps avec les gens aussi égoïste que toi.. "

Pourquoi criait-elle si fort dans la salle ? Certes, elle avait bien le droit d'être en colère, voir même hystérique à l'insu de ma remarque mais quand même. J'étais également rouge de colère mais ce n'était pas une raison que je parles aussi fort pour autant.

" Tu veux dire que tu peux plus baiser ? Onhh.. Dommage. J'te prend presque en pitié tu sais ? Non non, jt'assure, regarde la larme qu'il y a dans mes yeux ! Pff.. Pathétique. "

Je lâcha un soupir rapide et raide puis, après m'avoir penché pour lui montrer la supposée larme dans mon œil, je tourna les talons pour quitter la pièce. J'en n'avais déjà marre de l'exercice. Mais, lorsqu'elle me dit que je n'avais plus rien à dire, je tourna simplement la tête et lui réponda.

" C'est pas ça. Au contraire.. J'veux juste plus te voir. "

Je lui fis un clin d'oeil, et prit la sortie dans mon champs de vision.

Flash Back ---

Je marche lentement dans la rue , croisant le regard de quelqu'onques personnes soit perverse où tout simplement dégoûter de ma personne. Ma jupe rose * couleur que en passent je n'aime pas vraiment ,enfin pas en jupe disons car j'ai l'air d'une réelle barbie* me remonte sur les hanches et laisse entrevoir le peu de peau qui reste cacher malgré moi en dessou d'elle. Je porte aussi un débardeur noir et des bottes de cuire. Tout autours de moi semble détonner de ma personne , le béton sur les différente immeuble et tout ses petits marchés qui tiennent a peine debout. En faite , je ne sais pas vraiment se que je fais ici , habituellement je traîne plutôt dans les quartiers 'Riche' de la ville et non dans les BiDONVILLE car en effet c'est bien ce a quoi me fait pensée cette petite ruelles. Plusieurs maison ont seulement des rideau a les fenêtres en guise de vitre , ou apparement que cela ne sert qu'a cacher la maison et son état puisqu'en faite qu'il il est un tissu ou non cela ne change pas grand chose a la température changeant de mère nature. Non loin d'ici il y a un parc , un très jolie parc quoique fait et entièrement construit par des enfants , le père ayant décider que cet endroit était plutôt sans vie avait décider d'y construire se parc en guise d'amusement pour les enfants. Cependant que les modules laisse a désirer les structures monté pour les balançoires sont tout simplement magnifique , avec ses fer blanc et ses structures finissant en V laisse imaginer quil ne se terminera jamais. Je me dirige vers ses structures , il n'y a que deux balançoire l'une amocher et ce surment a cause de certains jeunes rebel tandisque l'autre a un côter plus haut que l'autre. J'opte pour la deuxième , j'ai bien de la difficulté a monter sur elle mais je réussis enfin et pousse lentement avec mes jambes frêle pour essayer de me balancer bien que cela ne fonctionne guère a cause de la différence de hauteurs des deux chaines. Soudain j'entends un bruit derrière moi , je me retourne et voit un homme qui me sourit a pleine dent et qui me regard comme un pervers , comme si j'était un appat...

- Bonjours monsieurs...

Essayant d'être courtoise je ne dis rien , bien que je continue de faire se genre d'activité je doutes fort que cet homme soit mon genre et qu'il a de quoi me payer , de plus il semble très vieux et surtout il ne semble pas venir de la ville. Sa barbe de deux jours , quoi que très charmante sur certaines personnes , ne lui va pas du tout et même qu'elle semble lui applatir le visage et ainsi le vieillir encore plus. Je frissone d'horreur et espère qu'il saura se faire convaincant.

- Excusez moi mademoiselle , c'est que je vous voyais marcher non loin et je me suis dis que je pourrais p'têtre faire un brin de jasette avec vous...enfin c'est que je ne vous es jamais vue dans le coin , vous n'êtes pas d'ici hein?

Je nous revois parler et plus parler très longtemps jusqu'à ce qu'il me soulève et me prend dans ses bras , je ris , ris à m'en décrocher la machoire. Peut-être que la boisson qu'il ma donner y est pour un peu mais sinon , je ne vois pas comment cela a put arriver. Il me dépose bientôt sur un banc et laisse mes lèvres frièvreuse rencontrer les siennes , ma langue fait aussi son chemin et bientôt je sens l'excitation a son comble. Je le regarde , il me souris puis me prend la main et m'emmène dans une ruelle , je ne sais pas ou il m'emmène mais je suis trop presser , j'ai hâte et je ne me rends pas compte de se qui se passe. Nous arrivons bien vite devant une immeuble , il me fait entrée puis me précise que c'est l'appartement de l'un de ses amis mais qu'il n'y est jamais , a se moment encore je ne me doute de rien et ne pense pas qu'il pourrait avoir tout inventer depuis le début , de son nom , a son coup de foudre pour moi... Il m'emmène sur le lit , enlève un a un mes vêtements puis commence... au début je me sens bien mais peut a peut , les effets de la boisson disparaisse et je commence a trouver qu'il se fait trop entreprenant , que je ne contrôle plus la situation! J'essais de l'enlever de sur moi mais je ne fais que m'essoufler encore plus , puis ... tout est noir...

Fin du flash back ---

Je suis la devant le jeune homme , a le regarder tremblotante , j'écoute toutes ses répliques sans répondre je ne veux pas gaspiller ma salive pour lui et surtout je ne veux pas qu'il croit que je suis une trainer , une pute ou une salope , je ne veux pas non plus qu'il croit que je suis faible. En faite , je ne l'es jamais été , et depuis cette nuit je le suis encore moi , je n'es plus peur maintenant même la mort ne m'appréhende plus car je sais qu'ons finira tous par mourrir un jour. Le jeune homme s'en vas , il se dirige vers la sortie . Bizarrement je ne contrôle plus mes jambes elles ne veulent pas m'écoutez et restez ou elles devraient être : soit ici , dans le gym. Je suiis l'homme a l'extérieur et me poste devant lui sans qu'il est le temps de répondre

" Alors c'est quoi ? Eh non je ne partirai pas , tant que je n'aurai pas comprit , comprit pourquoi tu fais comme si jétait faible et que tu pouvais me dire tout cela et je ne partirai pas plus avant de savoir pourquoi tu ma regarder comme sa tout a l'heure..."

J'avais l'air folle ? Enfin peut-être , au moin j'était devenue calme a la limite gentille et un regard impassible ornait mon visage , je voulais savoir se que le jeune homme penssait quand il m'avait regarder comme ça et surtout , se qu'il c'était retenue de dire , je n'allais pas le laisser partir comme sa.

L'

air apaisante fait virevolter nos cheveux d'une couleurs si différentes. Coucher en plein milieu d'un champs, ma future femme fesont mine de rien lorsque quelques randonneurs nous regardent étrangement. Nous somme seul au monde, même si autour de nous, plein de gens vivent, meurent. Nous nous sentons seul et libre. Nous avons l'impression d'être les deux être les plus heureux du monde. Nous avons l'impression que la vie, le futur ainsi que le destin nous appartient. Nous avons l'impression que plus rien ne pourrait désormais nous empêcher de nous aimer, de nous caresser. Prenant une des plus belle marguerites qui se trouve dans ce champs de fleurs blanche, je la dépose délicatement dans ses cheveux d'un blond magnifiquement clair. Tout en nous regardant longuement et amoureusement, je pose ma main maintenant libre sur sa joue droit et du bout des doigts, frôle ses paupières closes. Si seulement elle voulait ouvrir ses yeux pour me laisser entrevoir son regard envoûtant. Oh girl.. I love your eyes.. I love your beautiful blue eyes. Dès ce moment, je me sens fin libre. L-I-B-E-R-T-É. Que signifie réellement ce mot ? Même s'il il n'y a aucune définition reconnue internationalement, moi, je sais ce que c'est d'être libre. Elle me le fait vivre tout les jours. Je l'épelle mentalement mais étrangement je ne vois aucune image. Si par exemple, j'épelai le mot A-R-B-R-E, je pourrais voir dans ma tête l'immense chêne qu'il y avait dans la cours de mes parents. Sois dans celle que j'ai toujours vécu. Et si j'épelle le mot L-E-N-N-I-E, ce que je vois ? L'image d'une magnifique jeune femme au cheveux d'or. Je l'a vois en train de m'embrasser, comme si elle m'appartenait. Je vois cette femme courir dans le champs qui nous entourent.

Bien sur, à cette époque, je ne me rendais pas que c'était dans exactement une semaine que j'allais la perdre. Qu'elle allait partir pour aller rejoindre nos ancêtre. La scène se déroule tout juste devant mes yeux. Je ne rêve pas, au contraire, je suis parfaitement éveillé et mon regard est très lucide qui est posé sur elle. Si seulement c'était simple. Si seulement c'était aussi simple de lui dire pourquoi est-ce que je l'a regardais ainsi. Aussi simple de lui faire voir le fond de mes pensées. Aussi simple de dire ce que je ressens. Hey, la femme de ma vie est morte et puis bah je trouvais que tu lui ressemblais. Voila. Non, c'était tout simplement ridicule. Alors comment lui dire. Premièrement, est-ce que je devais lui dire. Elle était pourtant une simple et belle inconnue que je connaissais depuis seulement ce matin. Je n'avais absolument aucune choses à lui donner ni à lui prouver. Alors pourquoi est-ce que je devrais lui rencontrer une partie importante de ma vie ? C'était insensé. Mais, à savoir pourquoi, j'ai cette incessante envie de l'a faire taire une bonne fois pour toutes. Et si je veux accomplir ce buts, je dois partiellement lui dire. Donc, la regardant pour la toute première fois dans les yeux, je racle ma gorge, et ne peux m'empêcher de trembler de tout mes membres.

" Tu veux savoir pourquoi est-ce que je te regarde ainsi ? Tu veux vraiment savoir ? Eh bien pour être direct et rapide, tu ressembles à Lennie. Mis qui sait cette Lennie ?! C'est la femme de ma vie. La mère de mes futures enfant qui m'a quitter depuis un an jour pour jour. La femme de ma vie qui est morte beaucoup trop tôt. Voilà pourquoi je te regarde si étrangement. Tu lui ressembles. Tellement que j'ai l'impression de l'a regarder. Tellement que j'ai l'impression que je pourrais l'a toucher du bout de mes doigts. Maintenant, s'il-te-plaît, fiche-moi la paix. "

La douleur est si insoutenable. J'ai l'impression que mes larmes me menacent à tout coup de sortir de mon regard noisette, menaçant mon maquillage qui était si parfaitement mit. J'avalai la terrible et immense boule qui encombrait ma gorge et tâcha de me retenir de fondre en larmes. D'un mouvement brusque, je m'écroule sur le sol noir et chaud. Là, j'enfonce mon visage dans mes deux mains teintés de noirs les ongles et poursuit.

" C'est tellement difficile à supporter.. "

Flash Back ***

J

- Vous êtes enceinte mademoiselle Darlinghton ...

Fin du flash back **

" Je..."

" Chut...ne pleure pas..."

» Caden Trümper Miller.
» Je voudrais un topic avec Caden Trümper Miller.